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Avec sa grande expérience du dessin pris sur le vif, Cécile Biehler, puise l’essentiel de son inspiration en observant la société qui l’entoure.

 

Elle la contemple, la considère et se sert de ces expériences dans son travail de création sans briser les mythes des histoires douces de rencontres drôles et inattendues...

 

Puis, elle assemble sur le tableau encore frais ces moments magiques où se côtoient la fragilité fantaisiste de l’être et l’ouverture à l’altérité comme modèle de transcendance.

Ses œuvres sont figuratives, mais non dénuées d’abstractions visionnaires et poétiques.

 

Cécile Biehler mène un parcours artistique riche est transversal : elle pratique la peinture, l’illustration et la mosaïque, elle est également poète et auteure.

 

Elle a à ce jour publié neuf ouvrages : recueils de nouvelles, recueils de poésie illustrés par ses soins, recueil épistolaire, et récit de voyage avec photographies.

 

Dans ses livres, elle dessine avec des mots une autre peinture de l’âme humaine...

 

 

 

TEMOIGNAGES :

" J'apprécie beaucoup la tonalité teintée à la fois de mélancolie et d'humour de vos écrits. Ils aboutissent à une vulnérabilité salvatrice pleine de sincérité et de sensibilité "

​Gérard Freitag.

 

" Chère Cécile,

un petit mot bien modeste mais au combien sinvère, afin de te témoigner mon émotion à la lecture (à deux reprises !) d'A nos splendides égarements.

En me remettant le dit ouvrage, tu m'avais souhaité beaucoup de plaisir... On peut dire que c'est pari réussi !!!

Je te remercie pour cette très belle découverte, émouvante, attendrissante, triste parfois mais toujours avec ce soupçon d'humour et d'originalité justement posé.   ​Très sincèrement."

 

Nathalie Victor.

 

"J'ai lu le livre cette nuit, d'une traite, et j'ai habité vos pages. Vous avez une manière de raconter qui transforme le lecteur en spectateur d'une pièce dont les deux comédiennes seraient sur une petite scène nue (fond noir, spot derrière elles, silhouettes à contrejour) et lui seul au premier rang, ébloui quand une comédienne se déplace et qu'il prend le projecteur pleine face. Dans ces conditions d'intimité et d'effroi, toutes les émotions, les souffles, les emportements sont physiquement palpables. C'est bien vu, car comme toute correspondance construite, le procédé narratif choisi a besoin d'un tiers, lecteur transformé en témoin, en voyeur, en recours aussi. Le lecteur-spectateur participe à la montée dans les cumulonimbus, il se cabre et se détend, veut faire le médiateur parfois : mais comment, se dit-il, et c'est la clé romanesque de votre livre, peut-on autant échanger entre deux individus de bonne volonté et se révéler aussi gauches dans la (re)conquête de la douceur, cette douceur qui est leur paradis à la fois perdu et espéré ? La liberté (inféconde) de la mère en écho à la révolte (vaine) de la fille, il y a du conte philosophique moderne dans votre propos, mais vous savez - ouf ! - rester à distance de toute grandiloquence rhétorique, politique. Et pourtant tout est dit d'un monde (ce "meilleur des mondes", qui s'installe quoi qu'on en dise et quoi qu'on en fasse) pour lequel le projet central à peine masqué est de tuer les solidarités et, surtout, la liberté intérieure.
Beau texte donc, riche et sensible, sans concession, mais délicat, retenu, élégant.
Vous  êtes dans le juste et avez composé un vrai, et bon, et beau livre."

​

B.R. A propos du livre : "A nos splendides égarements" 

 

" Ce travail incarne une création rarement aussi sensible et riche en questionnements." Luxembourg Art Prize.

 

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